Il fait beau, il fait chaud, mais tout ça ne nous empêche pas de guigner sur internet pour voir ce qui s’y passe. Du coup cette semaine on vous propose les retours d’Eriah et d’Arma Jackson qui revient accompagné de Comme1Flocon, Magnum Raptor et Jowiz mais aussi les derniers son de Systematik, Leen C, Giaijo et Sai. Bonne écoute et à la semaine prochaine pour la 10e de « Fallait pas manquer ça ».


On débute fort avec un condensé d’Eriah qui nous livre ici son premier Freestyle du Homie, titre inédit qui nous annonce la sortie imminente de son EP Carnal Stories labellisé Neochrome. Pas besoin de vous faire un dessin, on connaît tous bien assez Eriah pour savoir qu’il ne rappe jamais pour ne rien dire, et qu’en plus il le fait toujours très bien. Vivement la suite.


On se laisse maintenant emporter par la musique de l’un de la Bande à Risk, Systematik. Un morceau low tempo qui s’adapte très bien à la chaleur estivale et qui rend hommage à tout ce qui compte pour le mc, et comme le titre le suggère, la musique et le rap y tient une place privilégiée. À mettre entre toutes les oreilles des mélomanes.


On fait une petite place à Leen C qui vient nous présenter Psycho, morceau dans lequel la Genevoise vient explorer les routes qui nous mènent à la perte de lucidité, un chemin qui semble tout tracé pour certains, méfiance donc.


Euro oblige, on passe en retrait à Giaijo qui reprendra certainement de volé, ses ligaments étant maintenant sûrs, version 2.0 oblige. Le tout est servi sur une rythmique typiquement africaine, on est bel et bien en été.


Gentiment abonné à repreZent, Sai vient aujourd’hui nous servir un court intermède avec cet Infini de moins de 2 minutes, un format qui finalement correspond bien à l’ambiance du son.


Et pour terminer en beauté, on vous propose le dernier son d’Arma Jackson qui revient accompagné de Comme1Flocon, Magnum Raptor et Jowiz. Le tout est bien entendu composé par Arma qui prod après prod gagne en profondeur tout en restant toujours autant efficace, en témoigne son refrain, mais également les variations de beat à chaque couplet. Et comme la musique ne suffit pas, Arma et ses compères n’oublient pas de nous servir des textes qui en feront rire (jaune) plus d’un.